PFF est un conte de fée sombre.
Une fable rude et délicate, impitoyable et aimante, un secret de libération, une fresque intime et éhonté sur l’âme humaine.
Sur scène, une femme et un piano. Et c’est tout. Un piano vécu, croisé, joué avec les mains, les pieds, l’âme …
Un piano étage, pénétré, habité, usé par le sang et le sueur, dans chaque mot, chaque geste, chaque note …jusqu’à ne savoir plus, « qui joue qui », jusqu’à ne savoir pas pourquoi, meme les silences, émettent un son si plein et si vivant, dans la recherche exaspérée de la bonne position pour …